
L’automatisation des remboursements mutuelle : 3 idées reçues qui freinent encore les ostéopathes
Les patients en demandent, les mutuelles la soutiennent, et vous gagnez un temps précieux… mais des freins persistent.
En tant que psychologue, vous avez à votre disposition trois options pour exercer votre profession. Dans les lignes qui suivent, nous vous aidons à comparer les avantages et les inconvénients inhérents à chacun de ces modes d’exercice.
Le statut de psychologue salarié est le plus répandu. Le psychologue salarié travaille en entreprises, dans des établissements de santé ou des institutions diverses. Le salaire d’un psychologue salarié dépend de la convention collective en vigueur dans son lieu d’exercice, et peut atteindre jusqu’à 2 300 € nets pour un emploi à temps plein.
L’approche mixte permet aux psychologues de travailler de manière indépendante, au sein d’une institution ou de combiner les deux. Le psychologue en activité mixte exerce en tant que salarié tout en maintenant une pratique libérale.
Le psychologue libéral exerce en tant qu’indépendant, que ce soit depuis son propre cabinet ou son domicile.
En fin de compte, le choix du statut d’exercice en psychologie dépendra de vos priorités personnelles et professionnelles. Chaque option présente des avantages et des inconvénients distincts, et il est essentiel de peser soigneusement ces facteurs afin de prendre une décision éclairée pour votre carrière de psychologue.
Ecrit par
Trine
A bientôt sur MedSmart.fr 😉

Les patients en demandent, les mutuelles la soutiennent, et vous gagnez un temps précieux… mais des freins persistent.
MedSmart prend la parole à l’évènement de Lutte contre la fraude de L’Argus de l’assurance. Nos analyses issues de complémentaires santé représentant au total plus de 15 millions d’assurés, ont permis de détecter de multiples anomalies critiques avec l’IA MedSmart.

Un gestionnaire santé de premier plan pensait maîtriser ses risques de fraude. En analysant un échantillon de 1 000 factures d’ostéopathie que personne ne suspectait, MedSmart a mis en lumière 11% de demandes frauduleuses ou indues , représentant un gisement d’économies jusqu’alors invisible de 5 millions d’euros par an